« L’équipe Inra d’Annick Bernalier-Donadille a ainsi envisagé de reprogrammer le microbiote en implantant une flore acétogène, plus favorable et capable d’entrer en compétition avec les sulfatoréductrices, dans l’intestin. Les premières études sur des animaux ont donné des résultats particulièrement intéressants et un brevet a même été déposé, mais les travaux ont cependant dû être interrompus, faute de financement public. Une situation d’autant plus regrettable que la France semblait posséder une longueur d’avance dans un domaine considéré comme l’une des approches les plus prometteuses pour le traitement du SII. » Incroyable ! C’était en 2012, peut-être que d’autres pistes plus prometteuses sont explorées, mais il est dommage d’interrompre une étude à cause d’un manquement de financement, alors que tout est bon à prendre.
« L’équipe Inra d’Annick Bernalier-Donadille a ainsi envisagé de reprogrammer le microbiote en implantant une flore acétogène, plus favorable et capable d’entrer en compétition avec les sulfatoréductrices, dans l’intestin. Les premières études sur des animaux ont donné des résultats particulièrement intéressants et un brevet a même été déposé, mais les travaux ont cependant dû être interrompus, faute de financement public. Une situation d’autant plus regrettable que la France semblait posséder une longueur d’avance dans un domaine considéré comme l’une des approches les plus prometteuses pour le traitement du SII. » Incroyable ! C’était en 2012, peut-être que d’autres pistes plus prometteuses sont explorées, mais il est dommage d’interrompre une étude à cause d’un manquement de financement, alors que tout est bon à prendre.